Ivan Sergeevitch Tourguenev .  
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Maison de Tourguenev.

Bibliotheque ou salle de billard.

Bibliotheque ou salle de billard.

   Donc, cette piece s'appelle “Bibliotheque ou salle de billard”. Elle est la plus grande dans la maison. Bien que les livres se trouvaient non seulement ici, mais encore dans d'autres locaux. L'écrivain avait pres de vingt mille livres, et 1 parties appartenait a Ivan Loutovinov. Parmis les livres de Tourguenev se trouvaient aussi les livres de sa mere, par exemple la littérature sur floriculture. L'écrivain recueillait les livres pendant les années des études a l'Université de Berlin, ainsi qu'a la période plus tardive. Parmis les livres de Tourguenev on pouvait voir les oeuvres de Montesquieux, de Voltaire, de Didro. Le romancier russe fut également en relations constantes avec Jules Janin, écrivain et critique français. Tourguenev a été introduit par Flaubert dans la jeune école naturaliste ou étaient Zola, Daudet, Edmond de Goncourt, Flaubert et Tourguenev. Cette école était nommée “Société de Cinq”. Enfin, c'est Zola, qui a présenté Tourguenev aux jeunes écrivains, en particulier a Gui de Maupassant.

Les livres de Tourguenev.

   Sur un des livres, qui se trouvait a Spasskoyé, mentionne dans le récit “Pounine et Babourine”, c'est la poeme célebre “Rossiada”. En 1853 l'écrivain a racheté chez la veuve du critique V. Belinsky sa bobliotheque, qui stockait aussi chez lui-meme.

   Ces sont les tables de jeu pour jouer aux cartes. Mais Tourguenev n'aimait pas ce jeu. Il a joué aux cartes une fois sur le bateau, quand il était jeune, en allant a Berlin. Pendant ce jeu a commencé l'incendie qui a arreté tout. Plus tard Tourguenev a écrit un recit “L'incendie en mer”.

Les tables de jeu.

   L'objet,qui est le plus remarquable dans cette piece - le billard. Varvara Petrovna aimait beaucoup ce jeu, parce qu'elle avait les mains fortes. Tourguenev jouait au billard pas assez bien. Son ami Iakov Polonsky disait : “Tourguenev jouait au billard ni bien et ni mal, ainsi que surtout les gens jouent, pour qui le billard ne fait pas les professions. Nous avions les chances égals. Mais, quand jouait Tourguenev, il venait comme la personne impressionnable, se donnait au jeu. Il ne jouait jamais en se taisant ou sérieusement, comme un joueur présent. Ayant perdu le parti, il se réunissait venger, il est cruel de venger. S'il gagnait le parti suivant, il triomphait”. L'écrivain mentionne cet objet dans sa nouvelle “Rois Lire de step”. Quand l'écrivain créait ses oeuvres, il employait toujours les personnages et les objets réels.

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